Encore plein de touches noires et blanches.[pv Gwen Daelsie ][terminé]

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Mia attendait dans le couloirs en face de la salle de musique où se trouvait le piano sur lequel elle avait joué le jour où elle avait rencontré Diokine. Elle portait son uniforme, à sa manière comme toujours, et jouait avec le ruban qu'elle utilisait comme bandeau.

Apparemment, une autre classe avait cours dans cette pièce en ce moment même, et cela la faisait dépiter. Elle voulait pouvoir jouer du piano, et elle le voulait tous de suite. Elle aurait aimé pouvoir se servir de ses pouvoirs pour les faire déguerpir tous autant qu'ils étaient, mais qu'une classe entière panique pour qu'ensuite ont trouve une jeune fille seule en train de jouer du piano... Ça risquait de trop attirer l'attention sur elle, et surtout sur ses capacités surnaturelles, ce qui la mettrai plus que certainement dans une situation très problématique. Que quelques personnes soit au courant du fait qu'elle est une sorcière, passons, mais si tous le monde le devenais subitement, elle devrait à nouveau déménager... Fuir pour protéger sa vie... Non, mieux valait jouer la carte de la discrétion, après tous, elle avait encore pas mal de chose à faire dans ce bahut.

Finalement, le moment tant attendu arriva, les élèves quittaient la classe pour aller au cours suivant, et la chatte put enfin avoir accès à l'instrument tant convoité. Elle s'assit alors sur le siège se trouvant juste en face, et commença à réfléchir au morceau qu'elle voulait jouer. Elle decida que ce serait 'TAISEIDOU NO BOSATSU'. Mais pourquoi donc se contenter de jouer d'un instrument, quand on peut également chanter. Elle ferma alors les yeux, et ses doigts se mirent à toucher les touches du piano. Elle avait volontairement sauté la partie ennuyeuse de la musique, pour immédiatement passer à la partie intéressante, et pouvoir utiliser sa belle voix féminine en lieu et place de celle du chanteur qui interprète normalement cette chanson.

"Never know glaver gley in a glisten.
Tell me like a day in the rising.
Heavy going and I like getting peace that's clean.
Like a child, in the light where the light's been.
Hear the cry of the leave in the heathen.
Ever know where the blamed and the leathered get lashin?
Oh I'll never want a heaven only sewn with gold.
It's been kinda lousy when it's gone.
It's been never kinda clean being if you would want to climb.
It's really God who loves the soul.
Undo to Undo to Undo to..."

Elle était si concentrée sur ce qu'elle faisait qu'elle ne se rendait plus compte de ce qu'il se passait autour d'elle. Il fallait dire qu'en plus de jouer du piano et chanter, elle devait aussi prendre garde à ne pas perdre le contrôle de ses pouvoirs à cause de la sensation de bien être que ces petits moment d'intimité et de souvenirs heureux lui procuraient.

Messages : 41 Date d'inscription : 22/03/2010

Un petit trou dans l'emploi du temps, mieux vaux en profiter. C'est comme ça que je me dirige vers la salle de musique, ou j'avais repéré un piano y'a quelques temps... Tandis que je remonte le couloir a la recherche de la salle, un flot continu d'élève redescend pour sortir. Un cours venait de se finir, a l'évidence. Le flot se stoppe, et je peut continuer d'avancer. Seulement, j'entends une belle musique, ainsi qu'un superbe chant: la salle était occupée. Je voit que le piano avait du... Succès. J'entends a présent la musique clairement.

"Never know glaver gley in a glisten.
Tell me like a day in the rising.
Heavy going and I like getting peace that's clean.
Like a child, in the light where the light's been.
Hear the cry of the leave in the heathen.
Ever know where the blamed and the leathered get lashin?
Oh I'll never want a heaven only sewn with gold.
It's been kinda lousy when it's gone.
It's been never kinda clean being if you would want to climb.
It's really God who loves the soul.
Undo to Undo to Undo to..."

La fille qui chante disait les paroles trop rapidement pour que je comprenne bien les paroles. En tout cas, c'est beau. Avec discrétion, j'ouvre la porte -qui était un peu poussée- et entre dans la salle, puis m'adosse au mur. La pianiste est une féline noire, avec un uniforme... Peut conventionnel. Manches arrachées, utilisé en gilet, nœud servant de bandeau dans les cheveux. Cheveux qui sont d'ailleurs d'un beau noir, et coupés assez court. Elle ne semble pas vraiment me remarquer, absorbée dans son morceau, ce qui me convient. Mais je suis malgré tout un peu déçue, moi qui voulait jouer du piano... Mais bon, la chanson entendue était tout de même sympa. Je me décidais a faire sa connaissance. Bien que cela sortait de mon attitude normale. Avec ma main, je relève les nombreuses mèches qui couvrent mon visage. Mon expression se raffermit encore plus en voyant ma main gantée, rose et caoutchouteuse... Une véritable horreur.

-... Bonjour...

Je me maudit intérieurement. Quel salut... Affreux. Mais pour une fille qui déteste le contact, -ou alors très rarement- c'était déjà ça.

Messages : 133 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 33

Le morceau, comme toute les bonnes choses, finit par toucher à sa fin, et Mia respira profondément avant de soupirer.

*Cette fois ci, tous c'est bien passé... Je n'ai pas l'impression de sentir le moindre des mes parfums.*

Elle entendit alors une voix derrière elle, quelqu'un qui la saluait. Elle se retourna donc sans se lever et regarda qui pouvait bien être dans la pièce. Et là, surprise, elle cru voir un fantôme, ce qui fit se soulever sa paupière droite. Ho, cela ne l'effraya pas le moins du monde, avec un père spiritualiste, elle savait parfaitement que cela existait, et que la majorité d'entre eux sont simplement des âmes qui se sont perdues, et qui errent de par le monde. Seul une fraction d'entre eux représentent un véritable risque. Elle choisit alors d'engager la conversation, tout en plaisantant.

"Tient, salut. Y aurais des cadavres dans les placards de cette école? Si je m'était attendu à ce que cette établissement soit hanté, j'aurais emmené un faux kit d'exorcisme et j'aurais arnaqué quelques nigauds en demandant un coup de main à tous les esprit du coin... Enfin, c'est pas dit qu'ils m'auraient aidé..."

Puis elle regarda plus attentivement son interlocutrice, et trouva que sa tête lui disait quelque chose... Comme si elle l'avait déjà croisée quelque part. Non, si elle l'avait déjà rencontré, elle s'en souviendrait. Une gamine plus blanche que la chemise des uniformes de cette école, et qui porte un masque, et des gants en caoutchoucs roses complètement ridicule, c'est pas le genre de personne qu'on oublie... A mois que ce soit une de ses camarades de classe, parce qu'à partir de ce moment là, il fallait prendre en compte que soit elle dormait, faisait des blagues idiote, ou parlait à sa voisine de table alors que cette dernière essayait désespérément d'écouter ce que le prof racontait. Pour faire bref, elle foutait trop le bordel durant les cours pour se souvenir de qui était là, et de qui ne l'était pas... Quand elle était elle même présente...

Bha, dans le doute, il n'y a qu'une chose à faire : demander!

"Dit, ôte moins d'un doute... T'est un fantôme, la fille cachée de Dark Vador venue conquérir cette planète ou alors juste une fille bizarre qui vient en cours dans ce bahut et qui fait partie de la classe de seconde?"

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"Tient, salut. Y aurais des cadavres dans les placards de cette école? Si me m'était attendu à ce que cette établissement soit hanté, j'aurais emmené un faux kit d'exorcisme et j'aurais arnaqué quelques nigauds en demandant un coup de main à tous les esprit du coin... Enfin, c'est pas dit qu'ils m'auraient aidé..."

Je ne répond pas, regardant simplement la personne de mes yeux rouges sang. Elle continue de parler:

"Dit, ôte moins d'un doute... T'est un fantôme, la fille cachée de Dark Vador venue conquérir cette planète ou alors juste une fille bizarre qui vient en cours dans ce bahut et qui fait partie de la classe de seconde?"

Bien que la plaisanterie m'ait amusée, je n'en laissait rien paraitre, comme a l'habitude.

"Bien qu'il y ai peut-être un cadavre dans cet établissement, il se trouve que je n'en suis pas un. Je suis simplement une fille bizarre qui traine dans ce bahut.

J'eu beau essayé de faire de l'humour, l'expression faciale de mon visage était restée terne comme a l'habitude. Une question me démange. Je hausse un peu la tête, et remarque:

"Mais... j'ai l'impression que toi non plus, tu n'es pas normale... Qui est tu? Porter un tel uniforme...

On peut aisément voir a son atittude, sa manière de plaisanter, et, son uniforme, que cette fille n'est pas conventionnelle. Mais j'ai l'impression qu'elle cache plus. Je soupire, formant de la buée sur mon masque. Que j'essuie avec ma main.

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*Cette...Chose! Cette chose se permet de critiquer ma tenue! Et de me comparer à elle! Mais je suis bien plus normale qu'elle ne le serat jamais!*

"Moi, pour toi ça seras Miss Tsukiyoko et rien d'autre! Et si tu trouve quelque chose à redire sur ma tenue, commence par enlever ton costume d'Halloween, Mousy Vador.

T'as raison, moi non plus je suis pas normale... Je suis magnifique! Et il est hors de question que je cache mon superbe corps sous prétexte qu'il faut porter l'uniforme de ce lycée. Ils ont déjà réussis à m'imposer le fait de mettre ces fringues, mais personne ne me forcera à les porter d'une façons différente à celle-ci. Personne! Et surement pas une gamine a peine sortie des jupes de sa mère!"

La chatte était restée relativement gentille, en comparaison de ce qu'elle pouvait dire. Maintenant, elle n'avait plus qu'une envie, jouer un autre morceau de piano... Mais elle était bien trop énervée pour ça. Bha, il lui restait la solution d'utiliser un de ses parfums, celui qui avait une odeur douce et amère, et qui était capable d'aider n'importe qui à se relaxer. Et c'est donc ce qu'elle fit. Le parfums se mit à émaner d'elle, et à lentement embaumer la pièce. Les muscles de la chatte se relâchèrent progressivement, et son visage se détendit. Elle avait réussis à retrouver son calme, mais maintenant, elle voulait savoir qui était cette fille en face d'elle, et ce qu'elle venait faire ici. Elle s'étira alors, et se leva pour s'approcher se son interlocutrice.

"Alors Mousy Vador, c'est quoi ton nom? Et qu'est ce que tu viens faire ici? Une petite envie de sécher les cours, et tu pensais que la salle de musique était une bonne planque ou c'est autre chose? Allez répond, ou je te mange toute crue..."

Elle plaça alors son visage juste en face de celui de la sourit, et la regarda en souriant... Mais pas un sourire réellement gentils, non, ce petit sourire en coin que la majorité des gens arbore lorsqu'il ont une idée derrière la tête.

-HJ-N'oublie pas de mettre les # après les = dans tes balise color lorsqu'il y a des chiffre dedans, sinon ça bug. 'color=#990033', parce que 'color=990033' ça marche pas.-HJ-

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"Moi, pour toi ça seras Miss Tsukiyoko et rien d'autre! Et si tu trouve quelque chose à redire sur ma tenue, commence par enlever ton costume d'Halloween, Mousy Vador.

T'as raison, moi non plus je suis pas normale... Je suis magnifique! Et il est hors de question que je cache mon superbe corps sous prétexte qu'il faut porter l'uniforme de ce lycée. Ils ont déjà réussis à m'imposer le fait de mettre ces fringues, mais personne ne me forcera à les porter d'une façons différente à celle-ci. Personne! Et surement pas une gamine a peine sortie des jupes de sa mère!" [/color]

A peine sortie des jupes de ma mère... Si seulement elle avait manifesté un peu d'amour maternel a mon égard... Peut-être me suis-je rendue malade seulement pour avoir son attention? Enfin, la chatte s'était emportée, pour une simple phrase. Phrase qui était dite en simple constatation. Je hausse un sourcil dubitatif. La féline a l'air de se concentrer, puis de se calmer. Étrange...

"Alors Mousy Vador, c'est quoi ton nom? Et qu'est ce que tu viens faire ici? Une petite envie de sécher les cours, et tu pensais que la salle de musique était une bonne planque ou c'est autre chose? Allez répond, ou je te mange toute crue..."

-Je m'apelle Gwendoline. J'avais simplement envie de jouer du piano. Et sache que la remarque envers ton uniforme n'était pas voulue offensante, mais porter ses habits ainsi révèle une certaine force de caractère et un défi de l'ordre, signifiant que tu n'étais pas un... "gentil mouton qui suis le troupeau".

Elle se place fasse a moi, près de mon visage et me souris en coin. Un sourire que je pourrais qualifier de... Vicieux, calculateur. L'une des seule et rares expression faciales qu'il m'arrive d'arborer. Je recule d'un pas, et demande:

-En général, j'admire les gens qui on cette force.

Je fait une légère pause, puis reprend.

Ce serais idiot de laisser un tel piano... Seul? Alors, qui joue maintenant, toi, ou moi?

-HJ- merci, je vais corriger ^^ -HJ-

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La sourit venait donc de donner son nom à la chatte. Mais apparemment le sourire de la sorcière avait réussis à légèrement effrayer Gwendoline qui recula instinctivement. Donc, elle était venue pour jouer du piano elle aussi, ça leur faisait un point commun, mais ce n'était pas pour autant que Mia se montrerai gentille avec elle. Non, là si elle n'était pas en train de la malmener et de l'insulter, c'était uniquement grâce à son parfums relaxant.

Tiens, alors sa remarque sur sa tenue tenait plutôt du compliment, enfin, ça c'est ce que l'albinos disait. Mais bon, autant lui laisser le bénéfice du doute. Peut être elle aussi avait elle un petit coté rebelle. Lorsque la souris dit qu'il serais dommage de laisser le piano seul, Mia rigola un instant, avant s'éloigner d'elle laissant le passage libre. Elle était curieuse de savoir si cette fille jouait bien du piano, et lorsque cette dernière demanda qui devait jouer, elle tendit la main en direction de l'instrument, tout en disant.

"A toi, Gwen Vador, et si t'en est capable, fait moi aussi un petit tour de chant. Allez, vas y! Montre moi ce que tu sais faire. Et je voudrait peut être bien te pardonner ton petit dérapage si tu fait une bonne prestation. C'est le deal, t'as pas le choix."

Elle saisit alors la souris par la main, et la tira jusqu'au siège. Elle resta ensuite là, a attendre que la jeune fille s'installe. Pourquoi elle faisait ça en fait, c'était franchement bizarre. Cette fille, bien qu'ayant de très beau cheveux, était bien loin d'être un prix de beauté. Minuscule, maigrichonne, avec un peau si claire qu'on voyait ses veines. Non, c'était sure, elle ne risquait pas d'être attirée par son physique. Mais il y avait quelque chose chez cette fille... Elle faisait partie des personnes mise à l'écart, et si la chatte jouait bien son coup. Peut être pourrait-elle l'entrainer dans des mauvais coup? On verrait bien.

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La féline se met a rire, et désigne le piano de sa main:

[color:9776=color=#990033]A toi, Gwen Vador, et si t'en est capable, fait moi aussi un petit tour de chant. Allez, vas y! Montre moi ce que tu sais faire. Et je voudrait peut être bien te pardonner ton petit dérapage si tu fait une bonne prestation. C'est le deal, t'as pas le choix.

Elle me saisit la main, et m'amène vers le piano je m'assit, et lui répond:

-Bien qu'en piano je me débrouille, je ne suis pas douée du tout en chant. Je n'ai aucune notion de rythme, ma voix n'est pas mélodieuse et par dessus tout, étouffée pas mon masque. De plus, je ne sais jouer au piano aucune musique avec chant. Désolée.

Que pourrais-je jouer? J'hésitais entre 2 oeuvres. Deux compositions déjà au piano. Je fini par choisir: BattleStar Sonatica. J'aimais beaucoup la série dont étais tiré cette musique. C'était l'une des seules chose qui me procurait du plaisir. La chansons durait un peu moins de 5 minutes. Mais je pouvait abréger. J'avais appris cette musique toute seule. Et je la connaissait par coeur. Je posais mes doigt et commençait a jouer. Je baissais mes yeux, me fichant totalement de la réaction de Tsukiyoko. La chanson était douce, lente et mélodieuse. Mais en même temps, assez forte. J'aimais cette chanson. Mais je ne souris pas. Mon visage demeure froid. Je fini par arrêter, vers 2 minutes 30. Le manque de musique me fait une étrange impression. Je reste quelques secondes, les doigts toujours sur le piano. Je tourne finalement la tête vers la chatte et lui demande:

-Alors, je n'ai pas trop raté? Cependant, excuse moi pour ne pas avoir chanté. Peut-être cependant je ferrais une exception un peu plus tard, et j'essaierais de chanter. Cependant, je ne garanti rien.

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La chatte restait derrière la souris à l'écouter, elle savait apprécier un beau morceau de piano, et se tut totalement pendant qu'elle jouait. L'albinos interrompit son récital, sans avoir finit la musique.

"Alors, je n'ai pas trop raté? Cependant, excuse moi pour ne pas avoir chanté. Peut-être cependant je ferrais une exception un peu plus tard, et j'essaierais de chanter. Cependant, je ne garanti rien."

"C'était pas mal... Mais je me demande pourquoi tu ne l'as pas jouée jusque au bout. Enfin soit, j'avait un deal avec toi, et tu as remplis ta part du marché, alors je ne vais te pardonner pour cette fois. Te pardonner, pas oublier, ne confond pas les deux. Bon maintenant, dit moi..."

La sorcière posa alors sa main droite sur celle de la jeune fille, plaçant chacun de ses doigts entre les siens. Elle posa aussi son autre main sur le visage de Gwen, ou plutôt, sur son masque. Elle se doutait bien qu'une peau comme la sienne devait être d'une extrême fragilité, et elle ne voulait pas la blesser, du moins pas physiquement, et pas tout de suite. La chatte s'agenouilla de façons à mettre son visage à la hauteur de celui de son interlocutrice. Elle plongea alors ses magnifiques yeux doré dans les yeux rouge sang de l'albinos.

"Il doit bien y avoir une raison pour que tu porte tous cet attirail. Et pas la peine d'essayer de me mener en bateau en me disant que c'est pour te donner un genre. Personne ne porterait se genre de chose par choix, pas même un véritable fan de science-fiction. T'a des petits problèmes de santé, et ça t'empêche de te faire des ami. Tu peux me le dire, je peut parfaitement comprendre... Moi aussi on ne m'aime pas spécialement. Enfin, je m'avance peut être trop. Tu est peut être quelqu'un de populaire en fait..."

Mia appuya alors sur les touches se trouvant juste sous les doigts de sa main droite.

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"C'était pas mal... Mais je me demande pourquoi tu ne l'as pas jouée jusque au bout. Enfin soit, j'avait un deal avec toi, et tu as remplis ta part du marché, alors je ne vais te pardonner pour cette fois. Te pardonner, pas oublier, ne confond pas les deux. Bon maintenant, dit moi..."

La raison pour la quelle je m'étais interompue? Je n'arrivais pas a jouer la suite. Mes gants me gênaient trop. Et si j'essayais, cela donnait un résultat horrible. Mais je ne l'imterromps pas, attendant qu'elle finisse de parler. Et puis, même si elle ne m'avait pas pardonnée, la seule chose qui m'importait était de jouer du piano. Mais bon, je n'allais pas râler pour ça. Mais, curieusement, au lieu de tout de suite continuer, elle pose sa main sur la mienne, celle qui était sur le piano. Ma main tremblote très légèrement, mais c'est simplement parce que le geste me suprend. Je ne bouge pas, restant immobile, ne faisant que la regarder. Elle pose ensuite son autre main sur mon masque. Je suis de plus en plus troublée par son comportement, et je... Rougit un peu. Mais très très légèrement, et de plus a travers mon masque c'était impossible a voir. Même si je le sentait. Elle me regarde, plongeant ses yeux dorés dans les miens.

"Il doit bien y avoir une raison pour que tu porte tous cet attirail. Et pas la peine d'essayer de me mener en bateau en me disant que c'est pour te donner un genre. Personne ne porterait se genre de chose par choix, pas même un véritable fan de science-fiction. T'a des petits problèmes de santé, et ça t'empêche de te faire des ami. Tu peux me le dire, je peut parfaitement comprendre... Moi aussi on ne m'aime pas spécialement. Enfin, je m'avance peut être trop. Tu est peut être quelqu'un de populaire en fait..."

Puis elle appuie sur ma main gantée, qui appuie sur le piano. Je baisse mon regard. Que dire? La véritée. Mais en même temps... Dévoiler tout mes problèmes de santés était un peu risqué, je ne savais pas vraiment pourquoi. J'allais lui dire les choses, mais tout de même légèrement "édulcorer". Je la regarde dans les yeux, prend une courte inspiration, puis répond, d'une voix peu habituelle, un peu plus rapide et légèrement plus émotive. Cette fille me troublait.

-Tu a vu juste, j'ai des problèmes de santé. Le masque que tu touche sert a filtrer les particules allergènes. Et ses gants... Un peu pareil.Par contre pour les amis, c'est ... Un pur choix.

Je leve ma main innoccupée et écarte lentement sa main posée sur mon masque de moi.

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La chatte ressentit bien la gêne dans la voix et les réaction de l'hybride blanche. Elle se doutait que derrière se masque devait se trouver un visage légèrement empourpré, voir carrément cramoisi. Elle avait réussit à troubler la jeune fille, et cela fit réapparaitre son sourire en coins. Qu'allait elle bien pouvoirs faire avec cette gamine... La souris venais de lui expliquer la raison pour laquelle elle portait cette tenue, et éloigna alors la main gauche de la sorcière de son visage. Bha, pas difficile de deviner qu'elle devait être allergique au chat. Il y a plein de personne qui le sont. De plus, il semblait qu'elle soit asociale par dessus le marché. Ça faciliterais probablement le travail de Mia pour ce qui était de la pousser à commettre des choses répréhensible.

La chatte prit alors délicatement les mains de la souris dans les siennes, et les déposa sur les genoux de l'albinos. Puis elle se releva, et posa les siennes sur les hanches de l'hybride blanche, la poussant avec un extrême délicatesse sur le coté afin de se faire une place sur le petit banc se trouvant en face du piano. Elle se mit alors à jouer 'la sonate au clair de lune'. Et dire que la première fois qu'elle avait entendu cette musique, c'était dans un jeux vidéo mettant en scéne de pauvres policier se retrouvant enfermé dans un manoir infesté de mort-vivants et de créatures monstrueuses en tous genres. Elle choisit de poursuivre la conversation tout en jouant son morceau.

"Alors comme ça, tu as des problème d'allergie... Je suppose qu'il faut mettre les chats, hybride ou non, sur la liste... T'inquiète, ça me dérange pas. T'y peut rien, c'est comme moi, les gens me déteste juste à cause de ce que je suis. 'Dégage porte la poisse'. Combien de fois je n'ai pas entendu cette phrase, même dans la bouche de petits enfants sachant à peine ce qu'est un chat et faire la différence entre le blanc et noir. On est un peu pareil, on ne veut pas se faire d'amis pour ne pas être blessée... En tous cas, c'est la raison pour laquelle j'ai uniquement des 'partenaires de jeu'."

Pour ça, et aussi parce qu'elle était complètement nymphos. L'amitié garçons-filles, mieux valait oublier avec elle, c'était mission impossible, elle serait incapable de s'en contenter... Et ça valait aussi pour les filles d'ailleurs. Elle continua alors de jouer son morceau de piano en ferment les yeux. Elle devait se concentrer, elle sentait bien qu'elle commençait déjà à avoir du mal à s'empêcher d'émettre le parfums doux et sucré affolants les sens des autres humanoïdes... Finalement, elle appuya sur les touches se trouvant juste sous se doigts, avant de se lever comme une furie ouvrant une fenêtre en grand pour se mettre à hurler de colère. Pourquoi ne pouvait elle plus passer un moment agréable, et où elle se souvenait de ses bons souvenirs, sans perdre le contrôle de ses pouvoirs... Ça lui arrivait presque à chaque fois et ça commençait fortement à l'énerver.

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Elle prend mes mains dans les siennes, et les pose sur mes genoux. Elle se relève ensuite et met ses main sur mes hanches, et me pousse délicatement sur le côté. Elle s'installe alors a côté de moi, et se met a jouer. Elle jouait bien. Je réussi très vite a identifier le morceau: La sonate au clair de lune. Elle se met alors a parler, tout en continuant la mélodie.

"Alors comme ça, tu as des problème d'allergie... Je suppose qu'il faut mettre les chats, hybride ou non, sur la liste... T'inquiète, ça me dérange pas. T'y peut rien, c'est comme moi, les gens me déteste juste à cause de ce que je suis. 'Dégage porte la poisse'. Combien de fois je n'ai pas entendu cette phrase, même dans la bouche de petits enfants sachant à peine ce qu'est un chat et faire la différence entre le blanc et noir. On est un peu pareil, on ne veut pas se faire d'amis pour ne pas être blessée... En tous cas, c'est la raison pour laquelle j'ai uniquement des 'partenaires de jeu'."

Je compris immédiatement le sous entendu. Je préfère tout de même rester silencieuse. Moi non plus, je n'avais pas beaucoup d'amies. Bon, quelques unes, mais c'était très rare. Et je préfèrais mille fois la compagnie d'un livre. Et pour ce qui était des amis garçons, ça ne m'avait jamais interressé. Soit trop bourrin, soit qui ne veux pas copiner avec une fille. Et comme souvents ils étaient attirés par le côté... Physique de la personne je ne les interressaient pas. Eux non plus d'ailleurs. Je n'étais jamais tombée amoureuse alors que d'autres filles a mon âge fantasmaient sur "l'homme de leur vie". J'étais même d'ailleurs plus facilement attirée par les filles... Comme par exemple Mia. Je la regarde encore. Absorbée par le piano. Je me sent étrange. La tête qui tournait légèrement, et un sourire presque complet au lèvres. J'essaie de me concentrer. Je n'avais jamais été comme ça, même tout a l'heure. Que se passe-t- il? Soudain, la musique s'arette, et la chatte se lève brutalement pour aller gueuler par la fenêtre. Parmis les nombreux mot, je saisit vaguement parfum, et pouvoir. Je remarque soudain que l'état dans lequel j'étais tout a l'heure était stoppé. Elle avait du émettre un parfum ephorisant. Mon masque a filtré les particules odorantes, mais a du laisser passer un peu de ce qui m'a mit dans cet... Etat. Je me lève a mon tour, décidée a ... remonter le moral de la féline? Et puis, en aprendre un peu plus sur elle. Elle n'était pas une fille normale. Ca me plaisait. Je me mit devans la fenêtre. Le soleil était assez fort, et je vit mes lentilles de contact s'obsurcir. par conséquent, j'avais presque l'impression de porter des lunettes de soleil. Et oui, je porte des lentilles progressives. Mais pour sortir dehors, je porte tout de même de vraies lunettes.
Je me tourne vers la miss, et commence a lui parler, de ma voix qui était redevenue habituelle.

-C'était très beau. Tu joue magnifiquement bien.

Et sinon... Tout a l'heure, tu emétait un parfum n'est-ce pas? Je l'ai un peu ... senti. Désolée de reparler de ça.

J'attendis un peu, repensant a ce qu'elle m'avait dit tout a l'heure. Elle n'avait que... des "partenaires de jeu" comme relation sociale avec les autres. Mais... et moi? Parce que... Disons que mon physique n'est pas superbe, mais elle n'a pas l'air de me détester. Y'aurait-il une troisième classe? Je lui poserais la question tout a l'heure. Pour le moment... C'était un peu risqué. Je repensais ensuite a l'étrange attirance envers elle. Je frissonnais.

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La chatte avait les yeux emplis par des larmes de rages. Elle claqua même son poing droit sur l'encadrement de la fenêtre, se l'entaillant légèrement sur le métal. Bha, elle n'eu qu'à passer sa main sur ses larmes pour les essuyer, et la blessure disparut aussi vite qu'elle était apparue. C'est à se moment là que la sourit la rejoignis. Elle la complimenta sur sa façons de jouer du piano, avant d'aborder un sujets plus délicat, celui du parfums. Si elle voulait lui remonter le moral, c'était raté.... A moins que... L'albinos s'intéresserait elle à la sorcière? Son sourire en coin fit alors une courte apparition, avant que la chatte noire n'essuie à nouveau ses larmes, et se remette à parler.

"Disons que j'ai moi aussi quelques particularités... Plus ou moins dérangeantes... D'ailleurs, je suis étonnée que nous ne soyons pas déjà entouré par une foule en chaleur. T'a quand même sentit le parfums à travers se masque, alors soit j'ai mis la dose, soit ton gadget a un défaut, et tu va crever d'un choc anaphylactique dans moins de deux minutes. Je crois que c'est la deuxième solution, parce que j'entend pas le brouhaha des fou furieux qui viennent pour 'jouer' avec moi... Ou peut être qu'on à simplement eu du bol?"

Mia tourna alors la tête vers Gwen, et passa délicatement sa main gauche entres le cheveux argenté de la jeune fille. On aurait presque dit de la soie tellement ils étaient fins. Elle avait bien remarqué le léger frissonnement qu'elle avait eu juste après lui avoir posé sa question, ce pourrait-il que cette gamine ressente de l'attirance pour elle? Non, probablement que c'était à cause du parfums, aucun doute la dessus. Quoique, cela était une piste à suivre. Il est facile de jouer avec les sentiments des gens pour les amener à obéir. Peut être pourrait-elle faire abstraction du manque de beauté de la souris, et jouer le jeu. Rien ne vaut un test, et c'est ce que la sorcière comptait faire. Etre directe et paraitre la plus franche possible, voilà le plan. Si la gamine perd ses moyens, c'est que Mia est dans le vrai. C'est partit. Elle se tourna alors complètement face à la souris, et posa à nouveau ses mains sur les hanches de l'albinos, la regardant droit dans le yeux.

"Dit... Tu me trouve à ton gout n'est-ce pas? Je ne te l'ais pas dis, mais mes 'partenaire de jeu' sont aussi bien des garçon que des filles... Alors si ça t'intéresse de 'jouer' avec moi. Bien sur, pas ici et maintenant, on risquerait de se faire prendre.

A moins que tout contact physique directe te soit interdit, auquel cas, je te pleins ma pauvre. Mais on peut toujours s'amuser un peu en restant habillée..."

Elle laissa un blanc de plusieurs secondes, tout en regardant droit dans les yeux, avec un regard laissant transparaitre ce qu'elle voulait dire dans sa tirade précédente. Puis l'hybride noire ajouta :

"Au fait, tes yeux n'était pas plus clair que ça il y a deux minutes?"

Ça brisé un peu la situation... Mais c'était calculé. Mia s'en fichait pas mal en fait, ses yeux aurait peut virais à l'indigo que ça ne lui aurait fait ni chaud ni froid. Elle voulait juste laisser une échappatoire à la souris... Selon qu'elle lui réponde directement du premier sujet, ou l'évitait pour se tourner vers le second, la sorcière pourrait en déduire dans quel état émotionnel était l'albinos.

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"Disons que j'ai moi aussi quelques particularités... Plus ou moins dérangeantes... D'ailleurs, je suis étonnée que nous ne soyons pas déjà entouré par une foule en chaleur. T'a quand même sentit le parfums à travers se masque, alors soit j'ai mis la dose, soit ton gadget a un défaut, et tu va crever d'un choc anaphylactique dans moins de deux minutes. Je crois que c'est la deuxième solution, parce que j'entend pas le brouhaha des fou furieux qui viennent pour 'jouer' avec moi... Ou peut être qu'on à simplement eu du bol?"

Je pense que c'est plutôt la deuxième. Le masque a laissé passer quelques phéromones, mais pas les odeurs. Et tu n'a pas du en émettre assez pour que tout le lycée soit a ... tes trousses. Et je ne l'ai que légèrement senti, c'est juste que ça m'a... Surpris.

Elle ne semble cependant pas vraiment écouter, et tend la main vers moi, pour caresser mes cheveux. C'est sans aucun doute la chose la plus belle chez moi. Il sont fins et doux, et translucides. A voir son fin sourire, elle avait certainement remarqué mon frisson. Mon opinion était fixée: cette fille voulait jouer (au sens manipuler du terme, pas celui sous-entendent un contact physique) avec moi. Et j'allais lui donner l'illusion de ne rien voir. Même si... Je devais bien avouer que ce contact ne m'avait pas laisser indifférente. Et elle devait miser sur ça. Mais je n'en laissais rien paraitre, restant stoïque. Elle se positionne face a moi, et met les main sur mes hanches. Je m'étais préparée, mais cela me surprit tout de même un petit peu. Mais j'ignorais. Maintenant que je savais qu'elle voulait me manipuler, je n'allais pas me laisser faire... Du moins pas totalement. Elle me regarde en plein dans les yeux.

"Dit... Tu me trouve à ton gout n'est-ce pas? Je ne te l'ais pas dis, mais mes 'partenaire de jeu' sont aussi bien des garçon que des filles... Alors si ça t'intéresse de 'jouer' avec moi. Bien sur, pas ici et maintenant, on risquerait de se faire prendre.

A moins que tout contact physique directe te soit interdit, auquel cas, je te pleins ma pauvre. Mais on peut toujours s'amuser un peu en restant habillée..."

Je sent qu'elle va continuer de parler, alors je reste silencieuse. Cette fille est un fin stratège. Elle voulait me perturber, mais maintenant que la surprise était passée, ça allait moins marcher. Elle poursuit:

"Au fait, tes yeux n'était pas plus clair que ça il y a deux minutes?"

Je reste silencieuse quelques petites secondes. J'allais répondre a toutes ses questions. Je pris une légère inspiration, et commence a parler de ma voix glacée. Mais pas plus que d'habitude.

-Disons que tu est jolie. Mais désolée, je ne me sent pas... Prête pour ce genre d'experience. Sans compter les risques sur ma santé et d'être découverte. Et sinon je pense que le parfum y était pour pas mal...

Enfin, oui mes yeux étaient plus clairs. Je porte des verres progressifs.

Je la regarde ensuite, laissant toutefois ses main sur mes hanches. Comment allait-elle prendre?

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Alors, elle avouait trouver la chatte plutôt jolie... Mais aussi qu'elle préférait ne pas prendre le risque de 's'amuser' avec elle. Ce n'était pas grave au moins, Mia savait maintenant qu'il ne serait pas facile de la ranger de son coté, mais que si elle y arrivait, ça serait également compliqué de la faire repasser dans un autre camps. Après tout, surement que Diokine j'apprécierais une ou deux nouvelles recrue sur les quelles ont pouvait compter sans même devoir s'en méfier un tant soit peu. La sorcière laissa alors descendre lentement ses mains jusque sur les fesses de son interlocutrice avant de remonter jusqu'à ses côtes et d'arrêter subitement de la toucher. Elle avait observé très attentivement la souris pendant se dernier contact, en tentant de relever la moindre réaction de sa part. L'albinos avait réussis à retomber sur ses pattes, mais n'oublions pas que Mia est une chatte, et que les chats aime jouer avec leur proie.

Elle s'éloigna alors, pour retourner s'assoir en face du piano. Mais elle ne comptait pas en rejouer tout de suite. Elle croisa alors les jambes, et posa une mains de chaque cotés en se penchant légèrement en arrière.

"Tant pis... Moi, si je proposais, c'était pour toi. T'avais réellement l'air interessée... Mais si tu dit que c'est à cause du parfums...

Bon, je toi t'avouer que perso, ça me tenté pas trop. T'est pas non plus un monstre de foire, mais disons que si le reste de ton corps était assortit à tes cheveux, tu serais quand même nettement plus agréable à regarder. Bon, la petite taille encore, c'est mignon... Mais le manque de formes... Ça s'est triste. Tu peux pas prendre un truc qui te ferais un peu grossir? Parce que bon, à moins que tu sois réellement aussi jeune que tu en as l'air, bein, t'as réellement l'air d'une gamine de grand max douze ans, et qui ne serais même pas encore pré-pubère. Ça à son charme, mais je me méfierais tous de même du genre de type qui aime les filles avec un physique aussi... Infantile.

Tient, ça me donne une idée : On devrait aller faire du shopping un de ces quatre et allez te payer quelques soutifs rembourrés. Je suis sur qu'avec ta silhouette toute menue, ça en fera chavirer plus d'un... Ou d'une ça dépend ce que tu préfère... Le plus important, c'est que tu pourrais les dégouter en les faisant baver avant de leur dire que tu n'a pas le droit de faire quoi que ce soit avec eux pour des raisons de santé. Une vrai torture, je trouve ça tout bonnement sadique. La vengeance parfaite sur le reste du monde."

Le pire dans tous ça, c'est qu'elle était sérieuse. Elle s'imaginait même déjà la jeune fille en train de se promener dans la rue en robe noir super sexy, et repoussant les garçons et les filles parce qu'elle ne pouvait pas prendre le risque d'avoir le moindre contact avec eux. Elle s'imaginait déjà l'accompagnant un peu partout, et récupérant certains des 'spécimens' qui s'intéresseraient à sa poupées et qu'elle même trouverait assez à son goût. Puis elle entrainerais la gamine dans des endroit comme des bars, où elle effectuerai des petits boulots de serveuse dans un costume de soubrette au coté de la sorcière qui lui servirait de garde du corps en maintenant à distance les plus récalcitrant des clients... A l'aide de ses pouvoirs bien sure... Et finalement, elle l'entrainerais lentement vers le fonds, jusqu'à faire d'elle son reflet dans le miroir. A la différence prêt que la souris ne risquait pas de devenir nymphomane...

Elle laissa alors échapper un petit rire avant d'ajouter :

"Bon, allez, c'est ton tour de jouer... Ma petite poupée en porcelaine..."

Elle se rassit alors normalement, et tapota un peu la place à coté d'elle afin de faire comprendre à Gwen qu'il était temps pour elle de jouer un nouveau morceau.

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Elle reste un court moment silencieuse, puis descend lentement les main de mes hanches pour aller jusqu'a mes fesses. Je sursaute très très légèrement, parce le geste me surprend. Lui aussi, je le trouve plutôt agréable, c'était a reconnaitre... Elle remonte ses main jusqu'a mes côtes et stoppe subitement tout contact. Je redresse un peu ma tête. Pour la regarder a nouveau. Elle aussi me regardait.

Elle s'éloigne alors, pour aller s'assoir sur le petit banc du piano. Je m'attendais a ce qu'elle y joue, mais elle croise ses jambes, et pose ses mains sur le banc. Elle se penche en arrière.

"Tant pis... Moi, si je proposais, c'était pour toi. T'avais réellement l'air interessée... Mais si tu dit que c'est à cause du parfums...

Bon, je toi t'avouer que perso, ça me tenté pas trop. T'est pas non plus un monstre de foire, mais disons que si le reste de ton corps était assortit à tes cheveux, tu serais quand même nettement plus agréable à regarder. Bon, la petite taille encore, c'est mignon... Mais le manque de formes... Ça s'est triste. Tu peux pas prendre un truc qui te ferais un peu grossir? Parce que bon, à moins que tu sois réellement aussi jeune que tu en as l'air, bein, t'as réellement l'air d'une gamine de grand max douze ans, et qui ne serais même pas encore pré-pubère. Ça à son charme, mais je me méfierais tous de même du genre de type qui aime les filles avec un physique aussi... Infantile.

Tient, ça me donne une idée : On devrait aller faire du shopping un de ces quatre et allez te payer quelques soutifs rembourrés. Je suis sur qu'avec ta silhouette toute menue, ça en fera chavirer plus d'un... Ou d'une ça dépend ce que tu préfère... Le plus important, c'est que tu pourrais les dégouter en les faisant baver avant de leur dire que tu n'a pas le droit de faire quoi que ce soit avec eux pour des raisons de santé. Une vrai torture, je trouve ça tout bonnement sadique. La vengeance parfaite sur le reste du monde."

Elle réussit a m'arracher un léger sourire. L'idée me tenterais assez. Mais... Avec mes problèmes de peau, toute tenue... Légère était interdite. Parce que après, avec les coups de soleil... Mais l'idée était... Sympa. Je décide de répondre a ses question. Sinon c'est vrai que cela aurait put être amusant. Enfin se venger des gens, qui me bousculaient, tout le temps... Parce que j'étais petite.

-J'ai 14 ans. Pour le shopping, j'avoue que l'idée est tentante, mais ma mère risque de pêter les plombs. Bon, non pas que cela me dérangerais mais... Plus de carte de crédit, plus de shopping. Et c'est sa réaction a coup sûr. Enfin, peut-être arriverais-je a me débrouiller, mais quand on est totalement externe au lycée... Et dépendant de sa mère, c'est difficile.

Etrange, tout de même, que la féline semble ... S'interresser a moi de cette façon. Elle avait une idée derrière la tête, j'en étais sûre. Je soupirais. Après tout, je me faisait peut-être un film. Je me laissais aller a m'imaginer, avec quelques... Formes, une robe noire, me vengeant enfin des gens. Ils me courtisaient, je leur laissait quelque espoir mais interdisait tout contact a cause de raisons de santé. Tentatrice l'idée, tentatrice. Peut-être même un peu trop. L'hybride noire voulait sûrement jouer sur cette corde, pour que je ... L'aide? Mais je ne savais pas exactement ce qu'elle voulait. La chatte laisse échaper un rire presque cruel, assez... Calculateur qui renforce mon sentiment.

"Bon, allez, c'est ton tour de jouer... Ma petite poupée en porcelaine..."

Elle reprend une position normale, et tapote sur la place du banc a côté d'elle. Je m'asssois donc a la place indiquée. Que jouer? Hum... Je trouvais un morceau, que j'ai découvert grâce a mon père. Il adorais le piano. Je me remémorais le morceau, puis posais les doigts sur les touches. Phillip Glass, Metamorphosis One. Je commence a jouer, et un frisson me parcourt, comme a chaque fois que je joue ce morceau. Continuant de jouer, je lui pose une question.

Tout a l'heure, tu ne m'a pas revelé ton prénom. Peut-être veut tu bien maintenant. Si ça ne te dérange pas. Je peut parfaitement me contenter de ce que tu m'a donné.

Je continue de jouer, un peu plus lentement.

-Sinon... Je serait peut-être d'accord pour une sortie au centre ville, mais... Je pense que le soutif rembourré restera du niveau imaginaire.

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Alors c'était une externe, enfin, elle aurait du s'en douter vu qu'elle ne l'avait jamais vue dans le dortoirs des filles. Quel dommage, ça voulait dire que les parents de la souris risquait de lui mettre des bâtons dans les roues, en filtrant les fréquentations de leur fille. Il devaient passer leur temps à lui dire avec qui elle devait être amie ou non... Mais ça pouvait aussi être un avantage, si Gwen les détestait, elle ferait exprès de trainer avec Mia pour les rendre dingue. Et vu la manière dont elle parlait de sa mère, elle ne devait pas spécialement la porter dans son coeur, probablement à cause de sa crise d'adolescence... Ou bien était-ce quelque chose de plus profond.

L'albinos vit alors s'assoir et jouer comme la chatte le lui avait demandé. La chatte ferma alors les yeux, ce morceau était réellement agréable à entendre, et la souris le jouait à la perfection. La sorcière remarqua le léger frisson que son interlocutrice avait eu en commençant à jouer. Gwen demanda alors son nom à Mia, qui choisit de ne pas le lui révéler pour le moment.

"Non, je préfère que tu continue de m'appeler Miss... Et moi je t'appellerais ma petite poupée en porcelaine... Ou juste ma petite poupée quand je voudrais faire court. Je trouve que ça te va bien, tu ressemble vraiment à une petite poupée très fragile."

La souris se mit à ralentir son jeu, signe que la musique touchez à sa fin.

"Sinon... Je serait peut-être d'accord pour une sortie au centre ville, mais... Je pense que le soutif rembourré restera du niveau imaginaire."

"C'est pas une mauvaise idée... Par contre, je vois pas pourquoi tu te priverais de ce genre de sous vêtements? Tu peut parfaitement les porter avec tes fringues habituelles! Et puis, même si ont peut pas te toucher directement, j'ai bien remarqué que tu adorait ça..."

L'hybride noire posa alors sa main sur la cuisse droite de l'albinos, la caressant doucement en prenant garde de bien rester sur la jupe de la jeune fille. Elle avait encore et toujours ce petit sourire en coin sur le visage, et passa à nouveau son autre main dans les cheveux de la souris. Elle faisait tous ça avec une extrême délicatesse. Elle savait désormais qu'elle ne la verrais jamais dans une tenue légère et sexy... Mais il lui restait toujours la possibilité de la voire habillée en soubrette. D'ailleurs, la chatte se demandais à quoi pouvait bien ressembler cette fille en dehors du lycée, où tout le monde était plus ou moins habillé pareil.

"Au fait, c'est quoi ton style de fringue."

Messages : 41 Date d'inscription : 22/03/2010

Elle me dit donc qu'elle préfère que je l'apelle Miss. Bien. Et qu'elle m'apellerais "petite poupée". Car c'était vrai, j'étais aussi fragile qu'une poupée de porcelaine. Mais... Je n'étais pas un jouet. Je finit de jouer, attendant sa réponse.

"C'est pas une mauvaise idée... Par contre, je vois pas pourquoi tu te priverais de ce genre de sous vêtements? Tu peut parfaitement les porter avec tes fringues habituelles! Et puis, même si ont peut pas te toucher directement, j'ai bien remarqué que tu adorait ça..."

Elle met la main sur ma cuisse, restant cepandant sur la jupe. Un léger frisson s'empare de moi, bien que je voulu le réprimer. Je suis vraiment surprise d'aimer a ce point ce genre de contact. Et l'hybride noire l'avait compris. Un sourire en coin ornait son visage. Son autre main se mit a caresser mes cheveux. Elle faisait tout ses geste avec une grande delicatesses, comprenant ma fragilitée.

'Parce que ma mère est contre, totalement contre ce genre d'habit. Qu'un jour je vienne avec une... Grosse poitrine la surprendra, et elle détèste les attitudes provocatrices. Elle m'interdira toute carte de crédit. Mais... Je pense que dans une mesure non rembourrée, cela pourrais passer... Cependant... Il y a une chance sur deux que je soit allergique aux tissus.

Je remarque que ma voix est un peu plus détendue. Un peu plus... Normale. Même si elle reste froide.

"Au fait, c'est quoi ton style de fringue?"

-Je m'habille classiquement. Longue jupe, T-shirt et bottes ou colants. Mais je préfère le noir. Je m'habille toujours en noir, bien que cela soit moins... "sexy" que si la robe était courte.

Je ne sait plus quoi dire... Et je ressent un peu le vide de parole comme un grand manque. Alors qu'habituellement, j'adore le silence. Peut-être parceque j'ai envie de parler avec elle. Ou même un peu plus... Je me maudit interieurement de cette pensée. Je n'y étais pas autorisée, et c'était bien ce qu'elle voulait. Elle avait un plan derrière la tête. Mais... Peut-être ce plan n'était-il pas si néfaste pour moi? Peut-être lui aussi pourrais faire valoir mes intentions? Mais c'était trop risqué. Cette fille était une rebelle, cela se voyait a la façon dont elle était habillée. Et puis, a ses propos. Elle voulait sûrement que je l'aide dans un coup. Ce qui était risqué pour moi. Ensuite, pourquoi me proposait-elle soudainement d'aller en ville, pour m'habiller et devenir plus... Sensuelle? J'allais un peu me laisser faire, pour découvrir ce qu'elle voulait. Seulement, si je mettais un doigt dans l'engrenage, allais-je ressortir ma main un jour? Je sent une vibration régulière. Mon portable... Je me lève doucement, enlevant sa main de ma jambe et l'autre de mes cheveux. Je me met près de la fenêtre, regardant autour. Je soupire, et sort le téléphone de ma poche. Je regarde sur l'écran. Ma mère... Génial. Je décroche.

-Oui? Non, excusez moi. Je suis au lycée, je suis pas encore sortie. Bien. Vous rentrez ce soir? C'est plus tôt que prévu. Et père? Non... Je ne suis avec personne, je m'entraine au piano. Oui. A ce soir.

Je racroche brutalement. Je prenais un malin plaisir a vouvoyer ma mère. Qui n'aimais pas vraiment ça. Et a prendre un ton froid. Elle rentrait plus tôt ce soir, et j'étais donc obligée de partir très vite. Un soupir d'exaspération. J'aurais encore souhaité rester là, m'entrainer au piano et... Parler a Tsukikoyo. Mais... Peut-être pourais-je dire a ma mère que j'avais pas encore fait mes devoirs, et que j'étais obligée de réviser un projet avec tout le matériel de l'école... Alors qu'en vrai je restait ici. Peut-être. Je prend donc mon portable et lui écrit un SMS, disant que j'allais arriver en retard. Parfait.

Désolée... C'est ma mère qui voulait que je parte maintenant. Mais bon, j'ai réussi a me débrouiller. Pour encore rester...

Je viens me rassoir près d'elle.

-A toi de jouer...

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Plus elle écoutait elle touchait la souris, plus elle se disait que le parfums n'était pas la seul raison de l'attirance que la sourit ressentait pour elle. Il ne faisait aucun doute que cette petite aurait aimé pouvoir être comme elle... Et justement, c'est ce que comptait faire la chatte, la faire changer pour qu'elle commence à lui ressembler de plus en plus. Jusqu'à ce qu'elle choisisse d'elle même de rejoindre la bande de Diokine... Bien qu'en dehors d'aider dans des tâches subalterne, ou de renseignement, elle aurait été presque inutile.Mais ça la sorcière s'en fichait, elle se disait surtout qu'elle pourrait s'appropriée cette fille de cette façon et en faire un jouet qu'elle garderait probablement plus longtemps que les autres.

Une autre chose était tout aussi sure, Gwen se sentait étouffée par sa mère... D'ailleurs, ce n'était pas dure à deviner, juste à la façon dont la souris en parlait on le savait. Le chantage à la carte de crédit, et le fait qu'elle décide de ce que ça fille devait porter... Pour sure, avec cette femme tout devait être sous contrôle, et c'est surement ça qui avait eu un effet si dévastateur sur la santé de l'albinos. Tout sous contrôle... Jusqu'à l'air qu'elle respire... Sans le savoir, cette femme avait donné à la chatte le moyen parfait d'obtenir ce qu'elle voulait de son interlocutrice : Le défie de l'autorité, représenté par les adultes et en particulier la mère de Gwen! Voilà la piste à creuser, encore plus que celle de la vengeance.

C'est d'ailleurs ce moment que cette femme choisit pour donner un coup de file à son enfant. La souris venait de lui mentir en prétendant être seul... Ce qui donna confirmation à la chatte que tous ce qu'elle pensait était vrai. Elle se rassit ensuite à coté de Mia... Qui commençait aussi à savoir pourquoi elle s'intéressait à cette fille pas spécialement jolie : Elle voulait ce qu'elle ne pouvait avoir, Gwen était un fantasme inaccessible.

Comme la jeune fille lui demanda, elle se remit alors à jouer, et choisis 'Claire de Lune' un magnifique morceau de musique classique. Et pendant qu'elle jouait, elle se remit à parler à sa petite poupée, comme elle l'appelé.

"Tu sais, je crois que je sais ce qui t'a rendu malade... Ou plutôt qui : Ta mère. Moi je t'appelle petite poupée en porcelaine parce que je trouve que c'est à ça que tu ressemble. Mais je crois qu'elle, elle te prend réellement pour une poupée. Je ne sais pas pour ton père. A mon avis, il est gentils et quand il est là, ta mère et plus coulante parce qu'il va dans ton sens. Le problème c'est que tu ne dois pas le voir souvent je parie... Alors tu est seule avec elle, qui décide ce que tu porte comme tenue, qui filtre tes appels téléphonique depuis ton fixe, vérifie tes e-mails et tes sms, et choisis qui doit te fréquenter... Elle doit même avoir choisit de venir te chercher elle même, parce qu'elle ne te crois pas une seconde...

Alors tu est à la merci de cette femme qui se dit ta mère... Et qui t'enferme dans une jolie maison de poupée bien rangée et ordonnée. Elle te traite comme un jouer, mais ne joue jamais avec toi parce qu'elle ne veut pas te casser... Elle ne pourrait plus exhiber son trophée si elle venait à le briser.

Mais si tu veux, moi je peux te donner le contact que tu as toujours souhaité... L'amour qu'il te manque... Et le plaisir que tu n'a jamais connu, et dont je te donne un aperçu en ce moment... Tu vois, je ne t'avais pas menti quand je t'ai dit qu'on pouvais s'amuser toute les deux, et sans que tu prennes le moindre risque. Si tu veux, je t'apprendrais à devenir une femme. Mieux encore, une femme qui se sent bien dans sa peau, et qui est fière de ce qu'elle est... Une vrai femme, pas comme celle qui a fait de toi ce que tu es, pour le moment.

Je peux te donner des astuces... Ce seras toujours ça de prit, même si tu ne veux plus entendre parler de moi après. Habille toi en gothic lollita, tu sera plus mignonne que réellement sexy, mais tu le seras plus qu'avec une longue robe, je pourrais même t'aider à choisir ce qui te va le mieux. Mets de long gants de soie, ou de satin en dessous de tes gant de caoutchouc, et choisis ces dernier d'une couleur moins ridicules...

Et pour les soutient-gorges, achète en des normaux, et rembourre les toit même avec des mouchoir en papier ou de la ouate. Et fait le progressivement, comme ça elle imaginera que c'est ton corps qui se développe. Et quand tu sera satisfaite de ta poitrine, achètes en quelques un rembourré que tu planque bien, et d'autre normaux que tu laisse dans ta garde-robe. T'en prend un le matin, tu le fourres dans ton sac et tu enfile en un avec rembourrage. Elle n'y verra que du feu.

Et si elle veut encore te faire chanter à l'argent de poche, trouve toi un petit boulot, je serais même heureuse de travailler avec toi si tu as peur de te retrouver seule."

Le morceau toucha à sa fin, et la chatte lui sourit, ce sourire était faux, mais paressé réellement gentils. Elle fit alors quelque chose de totalement inattendu : elle ferma un à un les boutons de sa chemise, et prit son rubans sur sa tête, pour le mettre à la place où il aurait du être normalement, faisant le noeud à la perfection. Elle prit ensuite la souris dans ses bras, sa tête légèrement contre la poitrine de Mia. De sa main droite elle lui caressait les cheveux, et de la gauche le bas du dos, et ce toujours avec une extrême délicatesse et en prenant garde de ne pas toucher directement la peau blanche de Gwen. Elle resta ainsi plusieurs minutes ajoutant.

"Tu entends... C'est mon coeur. Ta mère ne t'as jamais fait écouter le siens, non? Et biens moi si, et tu peux rester comme ça autant que tu veux... Enfin, pas trop, si comme je le suppose elle vient, il ne faut pas qu'elle nous surprenne comme ça. Je me serais déguisée en élève modèle pour rien, tu comprend..."

Et oui, elle prévoyait tout à l'avance juste au cas où. Elle ne voulait pas que son idée tombe à l'eau à cause d'un détails comme sa tenue ou son comportement en la présence de l'adulte qu'elle s'attendait à voire débarquer.

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Elle se met a jouer un morceau de musique classique, au clair de lune.

"Tu sais, je crois que je sais ce qui t'a rendu malade... Ou plutôt qui : Ta mère. Moi je t'appelle petite poupée en porcelaine parce que je trouve que c'est à ça que tu ressemble. Mais je crois qu'elle, elle te prend réellement pour une poupée. Je ne sais pas pour ton père. A mon avis, il est gentils et quand il est là, ta mère et plus coulante parce qu'il va dans ton sens. Le problème c'est que tu ne dois pas le voir souvent je parie... Alors tu est seule avec elle, qui décide ce que tu porte comme tenue, qui filtre tes appels téléphonique depuis ton fixe, vérifie tes e-mails et tes sms, et choisis qui doit te fréquenter... Elle doit même avoir choisit de venir te chercher elle même, parce qu'elle ne te crois pas une seconde...

Alors tu est à la merci de cette femme qui se dit ta mère... Et qui t'enferme dans une jolie maison de poupée bien rangée et ordonnée. Elle te traite comme un jouer, mais ne joue jamais avec toi parce qu'elle ne veut pas te casser... Elle ne pourrait plus exhiber son trophée si elle venait à le briser.

Mais si tu veux, moi je peux te donner le contact que tu as toujours souhaité... L'amour qu'il te manque... Et le plaisir que tu n'a jamais connu, et dont je te donne un aperçu en ce moment... Tu vois, je ne t'avais pas menti quand je t'ai dit qu'on pouvais s'amuser toute les deux, et sans que tu prennes le moindre risque. Si tu veux, je t'apprendrais à devenir une femme. Mieux encore, une femme qui se sent bien dans sa peau, et qui est fière de ce qu'elle est... Une vrai femme, pas comme celle qui a fait de toi ce que tu es, pour le moment.

Je peux te donner des astuces... Ce seras toujours ça de prit, même si tu ne veux plus entendre parler de moi après. Habille toi en gothic lollita, tu sera plus mignonne que réellement sexy, mais tu le seras plus qu'avec une longue robe, je pourrais même t'aider à choisir ce qui te va le mieux. Mets de long gants de soie, ou de satin en dessous de tes gant de caoutchouc, et choisis ces dernier d'une couleur moins ridicules...

Et pour les soutient-gorges, achète en des normaux, et rembourre les toit même avec des mouchoir en papier ou de la ouate. Et fait le progressivement, comme ça elle imaginera que c'est ton corps qui se développe. Et quand tu sera satisfaite de ta poitrine, achètes en quelques un rembourré que tu planque bien, et d'autre normaux que tu laisse dans ta garde-robe. T'en prend un le matin, tu le fourres dans ton sac et tu enfile en un avec rembourrage. Elle n'y verra que du feu.

Et si elle veut encore te faire chanter à l'argent de poche, trouve toi un petit boulot, je serais même heureuse de travailler avec toi si tu as peur de te retrouver seule."

Je réfléchi longuement a ce qu'elle dit. Elle avait raison, mais si seulement tout était si simple... M'habiller en Gothic Lolita, c'était faisable. Mais... Le reste... D'une façon, j'étais trop habituée a ma vie. Je me sentait pas vraiment prète. Pour moi, cela semblait un rêve. Comme si c'était pas pour moi. La féline me sourit, d'un sourire tellement "vrai" qu'il parraissait suspect. Je préparais la réponse dans ma tête, lorsqu'elle attache son uniforme, et met son bandeau comme ruban, ce qui était son utilisation d'origine. Elle me prends ensuite dans ses bras. J'ouvre grand les yeux, étonnée. Je rougit sous le coup. Le geste était différent des autres fois. Non, c'était plus de l'amitiée, une sorte de tendresse presque maternelle. Ce qu'elle avait prévu a coups sûr. Mais... Je suis trop troublée pour résister, et c'est ... Très agréable. De sa main droite, elle lisse mes doux cheveux, tandis que son me soutient au bas du dos. Je ferme ensuite les yeux, imaginant quelques instants ma mère a sa place. J'aurais tant aimé... Juste une fois... Elle ne m'avais jamais aimé, j'en étais persuadée. La miss ajouta:

"Tu entends... C'est mon coeur. Ta mère ne t'as jamais fait écouter le siens, non? Et biens moi si, et tu peux rester comme ça autant que tu veux... Enfin, pas trop, si comme je le suppose elle vient, il ne faut pas qu'elle nous surprenne comme ça. Je me serais déguisée en élève modèle pour rien, tu comprend..."

... Je reste encore un peu silencieuse. J'écoute une dizaine de seconde le battement de son coeur. Je lui parle:

-En effet... Elle ne me l'a jamais fait écouter. Je suis désolée... Mais je ne me sent pas prête a faire le plan "devenir une vraie femme"... Même si j'adorerais, cela me parait trop beau pour être vrai... Je ne sait pas. Peut-être un peu plus tard? Mais... Tu a raison. Ma mère me traite comme un jouet... De collection. Mais pour les vêtements c'est vrai que le style gothic lolita serais parfait...

Je me décolle doucement d'elle. Les yeux toujours baissés je lâche un lèger soupir. Ma mère allait bientôt arriver. Ce n'étais qu'une question de temps. Je croise mes bras sur ma poitrine presque innexistante, puis lui dit:

Je veux bien -un de ces jours- aller acheter, deux, trois fringues au centre ville. Et éventuellement se balader un peu.

Je prend un morceau de papier qui trainait, et inscrit rapidement mon numéro de portable dessus. Je lui donne le papier. Je poursuit.

-Par contre... Sache que je suis assez ennuyeuse.

HJ- inspi assez nulle '_' Désolée -HJ

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La chatte remarqua rapidement que la souris se sentait bien dans ses bras. Elle allait probablement réussir à gagner sa confiance, et elle pourrait en faire absolument ce qu'elle voudrait. L'hybride blanche se confia alors à elle. Elle ne se sentait pas prête pour essayer un changement aussi radical que celui que la sorcière lui proposait. Elle ne s'en rendrait probablement pas compte, mais il se ferait plus que certainement au fur et à mesure qu'elle fréquenterait Mia, qui petit à petit la pousserais à tenter de nouvelles choses, et l'éloignerais lentement mais surement du droit chemin. L'albinos confirma alors les suppositions que l'hybride noire avait faite sur sa mère, ce qui fit sourire la chatte. Ça voulait dire que plus la mère de Gwen voudrait l'empêcher de la fréquenter, plus la souris le ferait en tentant de le lui cacher. L'albinos accepta également la proposition de relooking, ainsi que celle d'aller faire un tour en ville.

La souris lui confia alors un bout de papier, et la chatte vit qu'un numéro de portable se trouvait inscrit dessus, surement celui de son interlocutrice. La chatte fit alors de même, ajoutant le numéro de sa chambre juste en dessous de son numéro de téléphone. Puis l'albinos ajouta qu'elle était quelqu'un d'assez ennuyeux... Ce qui n'était pas réellement un problème. Mia lui sourit alors, déplaçant les mains de la jeune fille pour les déposer sur ses hanches à elle. Elle passa alors sa main droite sur le buste de la souris, esquissant un sourire en remarquant l'ébauche d'une poitrine. Puis Mia descendit lentement vers le ventre de Gwen, et poursuivit jusqu'à arriver sur la cuisse de l'hybride blanche, qu'elle caressa durant quelques seconde. La chatte noire déposa alors un baiser sur son index et son majeur droit, avant de les déposer sur le masque de la jeune fille, approximativement là où sa bouche devait se trouver.

"T'en fait pas, je suis suffisamment amusante pour deux. Et puis, tu va voir, s'amuser, c'est quelques chose qu'on peut apprendre à faire... Il suffit de se laisser aller et de faire ce qu'on à envie de faire.

Ensuite, pour ce qui est des grand changement que je te propose, on commencera quand tu seras prête, je t'en fait la promesse... Et si tu ressens un besoin d'affection, de contact physique, ou peut être plus, n'hésite pas à me téléphoner ou à venir me voir à l'internat. Et si tu veux qu'on aille plus loin dans notre petit jeu... Viens habillée avec un pantalon serré, un sweat-shirt moulant, et des gants pas trop épais. La prochaine fois, si tu veux, ce seras à toi de me caresser."

La sorcière lui sourit à nouveau, un sourire affectueux, en apparence. Allait elle réussir à entrainer l'albinos dans ses petits jeux pervers. Probablement serait-ce la partie la plus facile, à chaque fois que Mia touchait Gwen, elle sentait parfaitement que ça lui faisait du bien. L'hybride noir éloigna alors lentement les mains de la souris de son corps, et ajouta.

"Officiellement, je suis ici parce que je t'ai entendu jouer du piano, et mes manches sont déchirée parce que je suis hyper-maladroite et que j'ai tendance à m'accrocher partout... Comme ça, on accorde nos violons pour ta mère, non, ta génitrice... Ce mot est probablement bien plus approprié pour une femme comme elle..."

Avec ces derniers mots, elle voulait jouer sur le fait que la souris n'aimait pas celle qui l'avait mise au monde, et voulait jauger à quel point c'était le cas. Maman, on l'adore... Mère, on a un minimum de respect pour elle... Génitrice, on la hait sérieusement... Voilà comment la sorcière voyait les choses, et elle attendait de voire la réaction de son interlocutrice.

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Elle me tend aussi un bout de papier. Elle me sourit, d'un sourire assez provocateur. Je reste a la regarder, sans sourciller. Elle prend mes main dans les siennes, et les met sur ses hanches. Je comprend vite ses intentions. Elle met ensuite sa main droite sur ma poitrine, esquissant un lèger sourire. Je ne put réprimer un très lèger frisson. Elle descendit ensuite sur mon ventre, pour aller sur ma cuisse droite. Elle la caressa doucement pendant quelques secondes. Je prit une teinte un peu rouge. Et, pour une raison inconnue, me senti un peu honteuse. L'hybride noire dépose un lèger baiser sur son index et majeur, et les dépose sur mon masque, juste en face de ma bouche. Je me sent presque gêné, et pourtant... Je ne peut m'empècher d'aprecier.

"T'en fait pas, je suis suffisamment amusante pour deux. Et puis, tu va voir, s'amuser, c'est quelques chose qu'on peut apprendre à faire... Il suffit de se laisser aller et de faire ce qu'on à envie de faire.

Ensuite, pour ce qui est des grand changement que je te propose, on commencera quand tu seras prête, je t'en fait la promesse... Et si tu ressens un besoin d'affection, de contact physique, ou peut être plus, n'hésite pas à me téléphoner ou à venir me voir à l'internat. Et si tu veux qu'on aille plus loin dans notre petit jeu... Viens habillée avec un pantalon serré, un sweat-shirt moulant, et des gants pas trop épais. La prochaine fois, si tu veux, ce seras à toi de me caresser."

Je veux répondre, mais ma gorge reste sèche. Je suis troublée, et le laisse un peu paraitre. Elle avait réussi a briser mon contrôle des émotions. Et elle le croyais sûrement. Je réussi a reprendre un peu le contrôle, et ma voix s'éleva plus comme une facade cachant mes sentiment. Mais je doit veiller a ne pas trop en faire, sinon... Ca paraitrait trop suspect. Elle dégage lentement ses mains de moi. J'arrive mieux a reprendre le contrôle de moi. Elle enchaina.

"Officiellement, je suis ici parce que je t'ai entendu jouer du piano, et mes manches sont déchirée parce que je suis hyper-maladroite et que j'ai tendance à m'accrocher partout... Comme ça, on accorde nos violons pour ta mère, non, ta génitrice... Ce mot est probablement bien plus approprié pour une femme comme elle..."

-Tu a raison... C'est ma "génitrice". Elle ne témoigne jamais d'affection pour moi.
Sinon... tes jeux perverts ne...M'interressent pas. J'aprécie, c'est vrai, quand tu me "touche" mais... Je ne peut pas aller plus loin. Mais... Quand tu m'a pris dans les bras, a la façon d'une mère... c'était très agréable.

J'avais parlé de ma voix posée et froide, laissant cependant trasparaitre un peu de sentiment. Je poursuis, d'une voix un peu amusée:

-Et puis... Je n'aurais jamais le courage de te... toucher comme tu me le fait.

Je laisse échapper un rire ironique.

-Et il faut que tu fasse attention. Ne laisse... Rien échapper de ce que tu est dans tes messages et SMS. Ni... De ce qui c'est passé ici. Ma mère regarde parfois mon portable. Et elle risque bien de me changer de lycée si elle découvre ça.

Le pire, ce que je n'exagérais pas. Ma mère était paranoïaque. Elle n'étais jamais là, et quand elle l'étais elle ne me laissait jamais respirer. Je regarde Mia dans les yeux, et un instant, j'aurais aimé plus que tout au monde avoir une mère qui m'aurais témoigné de l'affection, comme elle l'avais fait en me prenant dans ses bras.

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La souris sembla perdre le contrôle, à ce moment précis, la chatte pensa que peut importe ce qu'elle ferait, elle ne réagirait probablement pas. Mais dès qu'elle hotta ses main du corps de la jeune fille, cette dernière sembla reprendre pied, et essaya de se calmer. Elle reprit alors sa voix calme et glacée, mais on pouvait remarquer quelques émotions dans ce qu'elle disait. L'albinos semblait aller dans le même sens que la sorcière, à ceci prêt qu'elle prétendait ne pas s'intéresser aux idées tordues de la chatte, et aux vues de ses réactions, 'prétendre' était le mots juste. Elle ajouta ensuite qu'elle manquait de courage pour faire à son tour ce que Mia lui avait fait un peu plus tôt. C'était plutôt ça le problème : Elle avait peur de tenter quelque chose de nouveau.

Gwen ajouta ensuite qu'il valait mieux garder secret ce qu'il venait de se passer, et Mia hocha la tête pour lui signifier qu'elle était d'accords. Ensuite l'hybride noire se leva, et alla regarder dans le couloir. Personne à l'horizon, elle devait disposer d'encore un peu de temps avant que la mère de la souris vienne la récupérer. Elle retourna alors près de son interlocutrice, et elle la regarda avec une regard et un sourire qui laissait parfaitement transparaitre le genre de chose aux quelles elle pensait.

"Ce qu'il te manque, ce n'est pas réellement du courage, enfin si un peu... Mais je crois qu'un brin de folie, juste ce qu'il faut pour que tu puisse t'amuser sans danger, ça serais encore mieux que tout le courage du monde. Et de la folie, j'en ai à revendre, alors je peux t'offrir un peu de la mienne... Alors, comme on a encore un peu de temps..."

La chatte caressa alors le bras gauche de la souris, en partant de son épaule et en descendant vers son poignet, que la sorcière saisit délicatement. Elle guida alors la main de Gwen jusqu'à sa propre poitrine. Une fois la main de la jeune fille posée sur elle, l'hybride noire la lâcha, et attendit de voire ce qu'elle allait faire. Il ne restait probablement pas beaucoup de temps avant que l'albinos doivent partir, mais Mia espérait qu'elle en profiterait tous de même un minimum avant.

La chatte lui caressa alors les cheveux une dernière fois, la regardant droit dans les yeux en souriant.

"Tu voix, c'est pas si difficile... Il suffit de se laisser aller, et d'avoir un peu d'imagination, et on s'amuse."

La chatte posa alors ses deux mains sur les touches du piano, et demanda :

"Si tu connais un morceau qu'on peut jouer en duo, c'est le moment. On ne pourra peut être plus en jouer si on continue d'attendre sans rien faire que cette femme viennent te récupérer."

Et Mia resta donc immobile en attendant que Gwen se mette à jouer, après quoi, elle l'accompagnerais.

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La féline se retourne vers moi, avec un de ses sourires pervers qui ne laissait aucune ambiguïté a ses pensées.

"Ce qu'il te manque, ce n'est pas réellement du courage, enfin si un peu... Mais je crois qu'un brin de folie, juste ce qu'il faut pour que tu puisse t'amuser sans danger, ça serais encore mieux que tout le courage du monde. Et de la folie, j'en ai à revendre, alors je peux t'offrir un peu de la mienne... Alors, comme on a encore un peu de temps..."

Je reste immobile, cependant un peu tendue. Elle se met a doucement caresser mon bras gauche, en partant de mon épaule. Ses mains descendent petit a petit vers mon poignet, et finissent par le saisir, avec douceur. Ma main tressaillis, mais resta tout de même dans la sienne. Puis, elle entraina ma main jusqu'a elle, sur sa poitrine. J'écarquille un peu les yeux. Une fois que ma main est sur elle, elle lâche. Je reste figée quelques secondes, puis j'enlève lentement ma main. A la fois presque a contre-coeur, mais en même temps... Je m'en voulais d'être resté comme ça aussi longtemps. Je regarde longuement la chatte noire dans les yeux. Elle lève sa main, et viens me caresser les cheveux, plongeant son regard dans le mien elle aussi.

"Tu voix, c'est pas si difficile... Il suffit de se laisser aller, et d'avoir un peu d'imagination, et on s'amuse."

Je soupire un peu. Puis, elle met ses mains sur le piano et me demande si je ne connaissait pas de morceau a 2. Malheureusement, je n'en voyait aucun. Mais je pose tout de même mes doigts sur les touches. Elle ajoute que si on attendais encore comme ça a rien faire, nous ne pourrions plus en jouer... Seulement, je n'avais plus du tout idée de quoi jouer. Et mes pensées vagabondaient trop. Je trouvais enfin peut-être quelque chose a jouer, mais... Une vibration contre ma cuisse m'interrompit. Mon portable. Ma mère. Le départ. Je devais m'en aller. Quitter Tsukikoyo. Je me lève lentement.

-Désolée... Je doit partir. Ma mère. Tu... veux venir la rencontrer ou pas?

Je lâche un sourire ironique. Je met mon petit sac, que j'avais déposé a l'entrée, et sort de la pièce, attendant de voir si la féline me suivais ou pas.

HJ- Si tu veux encore faire un post, tu me préviens. Sinon, le RP s'arrête là. J'éditerais a ta réponse ._.-HJ

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Finalement la souris semblait ne pas avoir la moindre idées de ce qu'elles pourraient encore jouer au piano. Mais cela n'était pas grave, la chatte avait l'impression qu'elle avait déjà presque atteint son objectif. La relative lenteur avec laquelle Gwen avait enlevé sa main de sa poitrine lui avait prouvé que si elle avait peut, l'albinos serait probablement restée comme ça. Cette fille à coté elle devait être de plus en plus troublé, coincée entre le désir de faire ce que la sorcière lui proposait et les limites qu'elle devait s'imposer afin de pouvoir vivre et ne pas s'attirer d'ennuis auprès de sa mère.

Et ce qui devait arriver arriva, a force de rester immobile à rien faire, le téléphone de l'hybride blanche se mit à vibrer lui signifiant que sa génitrice arrivé pour la récupérer. Il ne fallut pas longtemps à Gwen pour se préparer et sortir de la pièce, et la chatte fit de même. Elle remarqua alors que la jeune fille l'attendait en réalité dans le couloir. La souris avait proposé à la sorcière de rencontrer sa mère, mais cela ne l'intéressé pas vraiment. A quoi bon rencontrer cette femme alors qu'elle avait déjà cerné sa personnalité, et que de toute façons, elle voulait seulement l'éloigner de sa petite poupée. Mais la chatte voulait encore profiter de ces quelques derniers instant qui lui était possible de passer avec son nouveau jouet.

"Je préfère ne pas croiser ta mère. AU moins, elle croira que tu était bel et bien seule ici. Mais je peux toujours t'accompagner jusqu'à la sortie."

La chatte s'avança alors vers son interlocutrice, et lui prit doucement la main, avant de se mettre à avancer vers la sortie. Elle regarda l'albinos, et lui sourit.

"On va bientôt devoir se séparer. Dès qu'on sera dehors, je retournerais au dortoir. Comme ça, je devrais pouvoir éviter de croiser ta génitrice. On aura plus qu'à se téléphoner pour se mettre d'accords sur la datte de notre sortie entre fille. Et d'ici là, si tu as du mal à supporter la solitude, viens me voire, et je te tiendrait compagnie... voire peut être un peu plus."

Une fois arrivées en face de la porte, Mia enlaça Gwen. Elle s'éloigna alors en laissant délicatement glisser ses mains sur le corps de l'albinos. Et lorsque finalement le contact se rompit, elle lui fit un petit signe de la main en franchissant la porte. La chatte prit alors la direction du dortoir. Mais dès qu'elle le put, elle s'adossa à un mur, et se mordilla l'index droit. Elle devait bien s'avouer que cette gamine lui avait donné tellement d'idée perverse que cela avait réveillé ses pulsions. La sorcière relâcha donc son parfums envoutant, dans le but d'attirer dans ses filets quelques élèves innocents.